1993-1999

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ITINÉRAIRES PHOTOGRAPHIQUES EN LIMOUSIN
15 mai au 16 août 1998

Site internet IPL 1998
EXPOSITIONS À LIMOGES
(Haute-Vienne - 87) 		Jean LETOUZEY
(Pavillon du VERDURIER)
  • Le corps voilé
  • Jean Letouzey utilise la photographie comme un moyen d'expression équivalent au dessin ou aux estampes.

    Ses photos, sur les corps drapés, sont retravaillées, ce qui leur donne un caractère irréel.
Jean SALOU
(Pavillon du VERDURIER)
  • Altri canti d'Amor
  • Que le regard naisse du miroir ! La blessure du métal, les plis des matériaux plastiques font de ces images des clichés divinatoires.

    A chacun d'en interpréter l'oracle !
Cécile PITOIS
(Pavillon du VERDURIER)
  • Portraits personnalisés et paysages particularisés
  • Nous vivons à proprement parler dans un animal - comme des parasites. La constitution de cet animal détermine la nôtre, et vice versa ...

    (1751 - IV 1090 - L'encyclopédie Novalis)
Laurent ROUSSEAU
(Pavillon du VERDURIER)
  • Elle
  • Devant le fond gris anthracite d'un décor toujours prêt, "ELLE" attend, posée là sur le sol, les amis de passage.
Jean-Daniel LEMOINE
Claude PLESSIER
(Pavillon du VERDURIER)
  • Proced-alt-photo
  • Images issues de techniques numériques transférées sur papier en utilisant les procédés anciens de la photographie, parmi lesquels l'héliogravure au grain ou photo-aquatinte.
UZERCHE
(Corrèze - 19) 		Jean-Luc BOIVENT
(Espace Vézère)
  • Les lutteurs
  • Sur le ring se déroule un combat. Jets de lumière et zones d'ombre se mélangent, mouvements et gestes se prolongent, personnages et visages sont déformés. La lutte prend alors la forme d'une chorégraphie primitive.
LA SOUTERRAINE
(Creuse - 23) 		Michel MEILHAC
(Bibliothèque Municipale)
  • (Sans titre)
  • Une seconde: c'est le temps de pose. Dans ce temps les arbres bougent, s'ébrouent. Parlent-ils ? Les photographies nous le révèlent ...
MORTEMART
(Haute-Vienne - 87) 		Fabrice LE BOTMEL
(Salle Municipale)
  • Fragments photographiques
  • J'ai réalisé ces fragments photographiques, exposés dans un espace imaginaire, pour interroger notre regard sur ce qu'il reste de l'instant photographique.