C’est dans l’espace mental de la stéréoscopie que je mets en scène mes histoires. Chaque image est un univers totalement factice où la vraie réalité prend l’apparence de l’imaginaire.

Le lien, un mot à la source... une recherche sur la nature et l'essence même du couple dans ses rapports de force, dans ce qui unit ou sépare.

La Russie et moi, c’est une histoire d’amour que peu d’occidentaux comprennent.
Ces portraits témoignent d'une époque et montrent la femme moscovite d'aujourd'hui, active, dynamique et moderne et d'une certaine manière l'âme slave.

Cécile HENRYON
Vanité parasite

Vanité Parasite représente un imaginaire étrange où les chevelures sont comme animées par leur volonté propre. Elles vivent tels des parasites sur le corps, jusqu’à prendre le pouvoir.

Cette série met en scène l'interaction fascinante entre le verbe, l'être et l'image.
Bienvenue dans un univers étonnant et résolument inédit.

L'Inde est un pays dont on revient sans savoir ce qu'on a vraiment vu.
Cette incertitude est aussi celle de la photo de rue : tout surgit et disparaît sans arrêt dans le viseur.
Quelques éclairs qu'on essaye de capter en suivant les impulsions de notre inconscient...

Photos réalisées au sténopé, appareil photo archaïque, confectionné à l'aide d'une boîte percée par un trou très fin qui fait office d'objectif photographique.
Il suffit, ensuite, de placer une feuille de papier photo à l'intérieur de la boîte face à ce trou pour que le motif choisi s'y impressionne.

Une autre vision du monde végétal où les fleurs éclairées, photographiées, mélangées donnent vie à d'étranges créatures, se transforment en armes, en building... nous basculant dans un jardin imaginaire.

Deux séries d’oeuvres,  issues de leur projet de voyage à travers le monde avec un scanner : un univers végétal en noir et blanc où le vieillissement est une renaissance et un monde industriel rebus de nos sociétés, aux couleurs altérées et aux formes écrasées.